Carte d'identité
Vrai
nom : André Franquin
Arrivée sur Terre :
le 3
janvier 1924 à Etterbeek (Belgique)
Départ
pour le paradis :
le 5
janvier 1997 à Draguignan (France)
Nationalité : belge
Carrière
L'enfance d'André Franquin est bercée par "le sérieux" qui est
la base de la mentalité de son père, employé de banque. Du coup,
il se sent étouffé et éprouve un "énorme besoin de rire"
difficile à combler. Il y voit l'origine de sa vocation
d'amuseur. Et cette vocation remonte très loin puisque dès l'âge
de 5 ans, il dessine beaucoup tout en dévorant des bandes
dessinées dont "Mickey" ou "Les aventures de Tintin et Milou". A
l'époque, il ne pense pas à mêler ces deux passions…
En 1935, âgé de 11 ans, il voit ses
dessins publiés dans le quotidien "La Nation belge".
En 1942, André Franquin débute ses études
supérieures. Son père lui avait déjà choisi une carrière
d'ingénieur agronome mais avec l'aide de sa mère, il arrive à le
convaincre de le laisser intégrer à l'école d'art religieux de
Saint Luc. Il se lasse rapidement de cette atmosphère où règne
une moral stricte (la pratique du nu féminin est interdite
obligeant les étudiants à poser eux-mêmes !). A la fin de la
première année, André a l'impression d'avoir fait le tour de la
question.
En
1944, André Franquin fait une rencontre qui va changer sa
vie : Eddy Paape. Cet ancien élève de Saint Luc travail dans un
atelier de dessin animé. A l'occasion d'une de ses visites
régulières à des anciens professeurs, il est tellement
impressionné par les dessins d'André qu'il lui propose de le
rejoindre. En septembre 1944, il devient donc animateur, un
métier dont il ignore tout et pour lequel il n'a aucune
formation.
Après la Libération, le studio CBA fait
faillite du fait de l'invasion de dessins animés américains mais
cette courte expérience a permis à André Franquin de rencontrer
Morris (encreur et silhouetteur) et Peyo (gouacheur).
En 1945, Morris l'aide à renter aux
éditions Dupuis qui cherche des dessinateurs. Jusque là,
Franquin se considérait comme un simple illustrateur. Son
arrivée chez Dupuis, lui permet enfin de réunir ses deux
passions d'enfant (le dessin et la BD) et de passer au statut de
dessinateur.
De 1945 à 1952, il réalise des couvertures pour "Le
Moustique" et l'hebdomadaire "Bonnes soirées", des gags en une
planche ou des publicités. Dès ces débuts, on note son talent
pour mettre en valeur l'expression des personnages ou son talent
pour le dessin figuratif (selon le journal destinataire) et une
dose d'humour noir.
En 1946, Jijé est le dessinateur vedette
du "Journal de Spirou" dont il assure la réalisation de la
quasi-totalité des bandes dessinées dont "Spirou". Face à
l'ampleur de la tâche, il demande à Charles Dupuis d'être
soulagé d'une partie de son travail. Sur les conseils de ce
dernier, il crée une atelier de dessin dans sa maison et
s'entour des jeunes nouveaux talents qui viennent d'être
embauchés. Morris, Paape et Franquin sont de l'aventure. Jijé
propose à Franquin de reprendre "Spirou" ce qu'il accepte avec
insouciance et sans connaître le travail de Rob-Vel. Sa première
histoire, "Spirou et le tank". Le test étant concluant, Jijé
abandonne alors complètement "Spirou" (qu'il dessinait toujours
pour le journal). Franquin reprend alors "Spirou et la maison
préfabriquée" dont Jijé a déjà dessiné les première cases. Le
changement de dessinateur passe presque inaperçu tant Franquin
sait se fondre dans le style de son prédécesseur. Les deux
histoires sont publiées dans "l'Almanach Spirou" de 1947.
Dès sa première histoire en solo et en tant
qu'auteur officiel de "Spirou", Franquin donne une nouvelle
dimension à la série. Avec "L'héritage", il donne à l'histoire
une nouvelle dimension humoristique qui transparaît notamment au
travers du bestiaire que Franquin s'applique à dessiner. En
parallèle, il dessine de nombreuses illustrations pour "Le
journal de Spirou" et le magazine "Plein-jeu" (pour les scouts)
ainsi que des cartoons "le Moustique" et "Les bonnes soirées".
En 1948, Franquin, Morris et Jijé partent
pour les Etats-Unis et le Mexique par peur d'une guerre avec
l'Union soviétique en Europe. Les trois complices envoient alors
leurs dessins par courrier aux éditions Dupuis. Mais le mal du
pays et de sa financée gagne vite Franquin qui rentre à
Bruxelles.
En 1950, il a signé une dizaine
d'histoires. Ces aventures tiennent en moyenne en une vingtaine
de page, les animaux y sont toujours présents mais on voit aussi
poindre la passion de Franquin pour les voitures (notamment la
marque Citroën). Si les personnages que Spirou, Fantasio et Spip
rencontrent dans leurs aventures ne sont jamais les mêmes, le
professeur Samovar est le premier rôle récurent. D'ailleurs pour
certains, il préfigure Zorglub.
Cette même année, Franquin prend un nouveau
virage à la fois dans sa vie personnelle, il épouse Liliane
Servais, et dans sa vie professionnelle avec la publication avec
la publication de l'album "Il y a un sorcier à Champignac".
Cette aventure met en place le monde de Spirou et Fantasio que
nous connaissons aujourd'hui avec notamment le village de
Champignac et des ses habitants à commencer par le maire et le
comte de Champignac. Il inaugure aussi une série de récits plus
longs (57 planches en moyenne).
En 1951-1952, "Spirou et les héritiers"
marque la naissance du Marsupilami, de Zantafio et des
automobiles Turbot. Sa passion pour la mécanique et son sens de
l'inventivité se font plus présents. En attendant de les
développer à tambour battant au travers de Gaston Lagaffe, il
crée la Turbotraction et le Fantacoptère.
En 1953, Seccotine devient le premier
personnage féminin récurrent de la série.
En 1960, dans "Le voyageur du Mésozoïque",
il offre un premier rôle de figurant à Gaston Lagaffe avant de
lui offrir de petits rôles secondaires.
En 1955, Franquin quitte "Le journal de
Spirou" suite à un désaccord avec les éditions Dupuis. Il crée
alors "Modeste et Pompon", une série de gags en une planche,
qu'il présente au "Journal de Tintin". Réconcilié avec les
éditions Dupuis, il reprend son travail sur "Spirou" et se voit
donc contraint de travailler deux fois plus alors qu'il se
qualifié de "paresseux par essence". Mais la liberté que lui
laisse cette série lui plaît tout comme le rythme hebdomadaire
de parution des planches. Cette série offre un aspect assez
visionnaire sur l'avenir. Tout d'abord sur l'avenir de notre
quotidien puisque Franquin y présente un ouvre boite électrique
et une télécommande de télévision avant leur invention. Ensuite
pour l'avenir de la carrière de Franquin puisque plusieurs
personnages de la série préfigurent des personnages de "Gaston
Lagaffe" dont Gaston lui-même.
Le 28 février 1957, Franquin lance Gaston
Lagaffe dans les pages Du magazine "Spirou". Comme Spirou et
Fantasio, Gaston est présenté comme un employé du journal. Face
au succès du personnage, Franquin accepte de rendre
hebdomadaires les gaffes de Gaston. Franquin s'adjoint les
services de Jidéhem pour animer le premier anti-héros de la
bande dessinée. Gaston est une sorte de transposition
bédéistique de Franquin : paresseux, antimilitariste et insoumis
à l'autorité voir subversif. Le personnage fait même quelques
intrusion dans les aventures de "Spirou et Fantasio".
La même année, Franquin crée le Petit Noël. Le
personnage s'adresse à un public de très jeunes enfants et ne
paraît dans "le Journal de Spirou" essentiellement à l'occasion
de numéros spéciaux (par exemple pour Pâques ou Noël). Il situe
les courtes aventures du Petit Noël dans les rues de Champignac
où il croise régulièrement le Marsupilami en pension chez le
comte de Champignac. Ce personnage exprime le coté poétique de
Franquin.
En 1958, Franquin franchit un nouveau cap
professionnel : le travail en équipe. A l'occasion de l'album
"Le prisonnier du Bouddha", il s'associe avec Greg au scénario
et Jidéhem pour les décors. Grâce à Greg, Franquin aborde un
nouveau seuil dans l'humour : le comique absurde. En effet,
jusqu'à maintenant les histoires dessinées par Franquin étaient
assez crédibles (hormis quelques trouvailles et invention) et
basées sur des intrigues classiques où les méchants sont des
malfrats ou autres trafiquants. Suite à cette collaboration,
Franquin créera la savant fou Zorglub.
En 1958 et 1959, Franquin publie des
planches de Spirou dans le quotidien français, "Le Parisien
Libéré", en parallèle à son travail pour "le Journal de Spirou".
Pour ce travail, il s'associe à Roba (papa de "Boule et Bill")
qui dessine les décors et les nouveaux personnages. Cela donnera
naissance à "Spirou et les hommes bulles" et aux "Petits
formats". Greg se joindra à eux pour "Tembo Tabou" (qui paraîtra
en album en 1974).
En 1959, Franquin arrête son travail sur
"Modeste et Pompon". Ses amis Greg, Goscinny, Peyo et Tibet sont
venus à l'occasion lui prêter main forte. La série sera reprise
par d'autres auteurs. La même année, il abandonne aussi Le Petit
Noël qu'il jugera plus tard "trop mélo". Le personnage sera
repris 30 ans plus tard par d'autres auteurs mais sans succès.
En 1960, Franquin prépare un nouvel album
avec Zorglub mais les éditions Dupuis refusent. Il demande à
Greg de reprendre le scénario pour donner naissance à "QRN sur
Bretzelburg". Mais pour Franquin, cet album est celui de trop,
il est pris par la tenace impression de tourner en rond et tombe
en dépression. La publication de l'histoire est interrompue
pendant presque deux ans puis paraît très irrégulièrement.
Durant cette période, Franquin ne dessine plus que des gags pour
"Gaston Lagaffe". L'album n'est finalement publié qu'en 1966.
En 1968, Franquin apporte son aide à Peyo
pour l'album " Les Schtroumpfs et le Cracoucass". En dessinant
le Cracoucass (l'oiseau qui terrorise le village), il rend la
politesse à son ami qui l'a aidé sur "Panade à Champignac" dans
la série "Spirou et Fantasio".
En 1969, Franquin dessine "Bravo les
brothers" qui met surtout en valeur Gaston Lagaffe et "Panade à
Champignac". Cet après cet album qu'il abandonne la série dont
les codes conventionnels lui pèsent. Son disciple Fournier
reprend la série. Franquin intervient dans quelques cases pour
dessiner le Marsupilami avant d'arrêter complètement.
Libéré de "Spirou et Fantasio", Franquin
développe le personnage et l'univers de Gaston Lagaffe. La série
mêle humour, poésie, inventivité, critique de la société de
l'urgence et de la consommation, écologie et humanisme. Franquin
y manifeste aussi à nouveau son talent sur le dessin des animaux
et développe sa technique de bruitage.
En 1977, Franquin et Yvan Delporte lancent
"le Trombone illustré", un supplément de huit pages qui vient
comme un parasite au milieu du journal "Spirou". Afin de
trancher avec le "politiquement correct" de "Spirou", le
supplément est plein d'humour noir et subversif. Quelques
auteurs se joignent au duo (même des auteurs d'autres journaux).
Mais le ton ne plait pas (notamment les moqueries sur le
catholicisme, les sectes ou la publicité) et au bout de trente
numéros le "Trombone" s'arrête. Mais les deux compères revendent
le concept à Casterman sous le nom de "Pendant ce temps-là à
Landerneau". Mais après quelques numéros dans le magazine "A
suivre", l'aventure s'achève définitivement.
Durant l'aventure du "Trombone illustré",
Franquin lance une nouvelle série : "les idées noires". Au
travers de dessins en noir et blanc, il s'attaque avec un humour
aussi noir que ses dessins aux absurdités de notre société avec
une prédilection particulière pour les militaires, les
chasseurs, les pollueurs ou la religion. Franquin déclare dans
un entretien accordé à "La libre Belgique" : "les idées noires,
c'est un peu Gaston trempé dans de la suie". D'ailleurs en
1979, il dessine une planche où Gaston est torturé par des
militaires totalitaires au profit d'Amnesty International.
A la fin du "Trombone illustré", "les idées
noires" sont reprise dans "Fluide glacial" (dirigé à l'époque
par un admirateur et un ami de Franquin, Gotlib). Cette série
est souvent considérée comment le chef d'œuvre de Franquin.
En 1978, Franquin qui écrit les scénarii
des histoires qu'il dessine devient simple scénariste que la
série "Isabelle" qui a été créée en 1972 par Will, Yvan Delporte
et Macherot. Franquin se plonge dans l'univers onirique de la
série où se mêle sorcellerie, humour, poésie et dérision et
écrit la trame générale des albums 3 à 7.
La même année, il est rejoint en tant que
scénariste Yvan Delporte et Jannin sur la série "Arnest Ringard
et la taupe Augraphie", aventures d'un jardinier malmené par une
taupe envahissante. Il écrit le scénario de l'histoire.
En 1980, Gaston Lagaffe est adapté au
cinéma. Le film fera un bide et sera désavoué par Franquin
lui-même qui n'a participé au projet.
En 1982, Franquin tombe de nouveau en
dépression et cesse tout travail. Il lui faudra deux ans pour
s'en remettre.
En 1984, Franquin sort de dépression et
reprend le dessin de "Gaston Lagaffe". L'énergie fait défaut
mais son sens de l'humour est toujours présent.
En 1987, pour fêter les 30 ans de Gaston
Lagaffe, "Le journal de Gaston" est édité tandis que des gags
sont adaptés à la télévision. La même année, Franquin qui est
très fatigué, revend les droits du célèbre animal à un financer
monégasque qui crée les éditions Marsu productions. Le
Marsupilami reprend alors sa route dans des aventures propres
entre les mains d'autres auteurs mais sous l'œil de Franquin au
début.
Mais Franquin se lance malgré tout dans un
nouveau projet : "les Tifous". Il se plonge durant trois ans
dans cette série animée destinée aux enfants. Produite par les
studios ODEC/Kid Cartoons sur des scénarios de Yvan Delporte,
Xavier Fauche et Jean Léturgie, la série n'est représente qu'un
épisode mineur dans la carrière mais représente beaucoup pour
Franquin qui en oublie presque "Gaston Lagaffe".
En 1990, le dessin animé ne rencontre pas
le succès attendu victime d'un budget trop faible et s'arrête
après seulement 7 heures d'épisodes produits. Il est tout de
même publié en album (Dessis éditeur).
En 1991, Franquin reçoit la médaille de
l'ordre de Léopold (équivalant belge de la Légion d'honneur
française).
Le 26 juin 1991, Franquin publie son
dernier gag de "Gaston Lagaffe" dans "Spirou". Il abandonne son
personnage favori et fétiche faute de pouvoir tenir le rythme de
production hebdomadaire.
En 1992, cède à Marsu production ses
droits sur "Gaston Lagaffe", "idées noires" et ses monstres mais
continue de dessiner.
En 1996, après 10 ans de patience, les
fans de Gaston Lagaffe découvre son album n° 15. Les 650 000
exemplaires tirés sont épuisés en six semaines !
Le 5 janvier 1997, Franquin meurt d'un
infarctus. Il laisse au huitième art une œuvre majeure qui a
influencé de nombreux auteurs en France, en Belgique mais aussi
dans le monde entier.
A noter :
- Au
cours de sa carrière signe ou cosigné plus de 700 couvertures et
environ 600 dessins (événementiels, publicités, annonces,
illustrations, affiches…) où il met en scène ses personnages. Le
journal "Spirou" en est le premier bénéficiaire mais il
travaille aussi pour d'autres magazine – dont Fluide glacial –
et des fanzines. Ce sera d'ailleurs l'occasion pour Franquin de
dessiner de nombreuses créatures imaginaires amusantes et
hideuses. Certaines de ces créatures sont réunies dans "Cauchemarrant"
et "Un monstre par semaine" mais la plupart est inédite en
album.
- Un livre "Signé Franquin" réunit plus de 200
signatures de Franquin qui s'amusait à les adapter à l'histoire.
Intrusions dans le monde de Spirou et Fantasio
> en 1946 : "Le tank" (album hors série n° 1 :
"L'héritage" en 1976)
> en 1946 : "Spirou et la maison préfabriquée"
(album hors série n° 2 : "Radar, le robot" en 1976)
> en 1947 : "L'héritage" (album hors série n° 1 :
"L'héritage" en 1976)
> en 1947 : "Radar, le robot" (album hors série
n° 2 : "Radar, le robot" en 1976)
> en 1948 : "Spirou et les plans du robot" (album
n° 1 "Quatre aventures de Spirou et Fantasio" en 1952)
> en 1948 : " Spirou sur le ring " (album n° 1
"Quatre aventures de Spirou et Fantasio" en 1952)
> en 1949 : " Spirou fait du cheval " (album n° 1
"Quatre aventures de Spirou et Fantasio" en 1952)
> en 1949 : " Spirou chez les Pygmées " (album n°
1 "Quatre aventures de Spirou et Fantasio" en 1952)
> en 1950 : "les chapeaux noirs"
(album n° 3 en 1952)
> en 1950 : "Mystère à la frontière " (album n° 3
"Les chapeaux noirs" en 1952)
> en 1951 : "Il y a un sorcier à Champignac"
(album n° 2)
> en 1952 : "Spirou et les héritiers" (album n°
4)
> en 1954 : "Les voleurs du Marsupilami" (album
n° 5)
> en 1955 : "La corne de
rhinocéros" (album n° 6) pré publié sous le titre "Spirou et la
Turbotraction"
> en 1956 : "Le dictateur et le
champignon" (album n° 7)
> en 1956 : "La mauvaise tête"
(album n° 8)
> en 1956 : "Touchez pas aux
rouges-gorges" (album n° 8 "Mauvaise tête" en 1956)
> en 1957 : "Le repaire de la
murène" (album n° 9)
> en 1959 : "Les pirates du
silence" (album n° 10)
> en 1959 : "La Quick Super" (album
n° 10 "Les pirates du silence" en 1959)
> en 1959 : "Le gorille a bonne
mine" (album n° 11)
> en 1959 : "Vacances sans
histoires" (album n° 11 "Le gorille a bonne mine" en 1959)
> en 1960 : "Le nid des
Marsupilamis" (album n° 12)
> en 1960 : "La foire aux
gangsters" (album n° 12 "Le nid des Marsupilamis" en 1960)
> en 1960 : "Le voyageur du
mésozoïque" (album n° 13)
> en 1960 : "La peur au bout du
fil" (album n° 13 "Le voyageur du mésozoïque" en 1960)
> en 1960 : "QRN sur Bretzelburg
(album n° 18 publié en 1966)
> en 1961 : "Le prisonnier du
Bouddha" (album n° 14)
> en 1961 : "Z comme Zorglub"
(album n° 15)
> en 1961 : "Les Robinson du rail"
(feuilleton radiophonique)
> en 1962 : "L'ombre du Z" (album
n° 16)
> en 1964 : "Spirou et les
hommes-bulles" (album n° 17)
> en 1964 : "Les Robinson du rail"
(roman illustré publié dans "Spirou" adapté du feuilleton
radiophonique)
> en 1964 : "Les petits formats"
(album n° 14 "Spirou et les hommes-bulles" en 1964)
> en 1974 : "Tembo Tabou" (album n°
24 paru en 1974)
> en 1969 : "Panade à Champignac"
(album n° 19)
> en 1969 : "Bravo les Brothers"
(album n) 19 "Panade à Champignac" en 1969)
> en 1970 : "Le faiseur d'or"
(album n° 20) [participation]
dernière mise à jour de cette fiche le
23 mars 2008 |