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"Spirou et Fantasio : le voyageur du mésozoïque" (éditions Dupuis)


"Marsupilami" (Marsu production)


"Gaston Lagaffe" (Marsu production)


"Modeste et Pompon" (Le Lombard)


"Le Petit Noël"(éditions Dupuis)


Peyo, Liliane Franquin et André Franquin (photo des archives
de NineCulliford sur Franquin.com)


Liliane & Andrée Franquin avec Greg
(photo de Guyaux sur Franquin.com)


Zorglub dans "Spirou et Fantasio"
(éditions Dupuis)


le Cracoucass dans "Les Schtroumpfs et le Cracoucass" de Peyo (édition Dupuis)


"Le trombone illustré' (éditions Dupuis)
"Les idées noires" (Fluide Glacial)
"Arnest Ringard et Augraphie"
(Marsu production)
"Isabelle" (Le Lombard)
"Les Tifous" (Dessis éditeur)
"Un monstre par jour" (Marsu productions)


"Les signatures de Franquin"
(Marsu productions)

Illustration pour "Le journal de Spirou"

La Turbotraction Rhino I en vrai lors de l'exposition "Le monde de Franquin"
à la Cité des sciences de Paris-La Vilette (d'octobre 2004 à août 2005)

L'album n° 15 de "Gaston Lagaffe"
(dans la série classique) "Gaffe à Lagaffe" (Marsu productions)

 

Carte d'identité

Vrai nom : André Franquin

Arrivée sur Terre : le 3 janvier 1924 à Etterbeek (Belgique)

Départ pour le paradis : le 5 janvier 1997 à Draguignan (France)

Nationalité : belge

 

Carrière

L'enfance d'André Franquin est bercée par "le sérieux" qui est la base de la mentalité de son père, employé de banque. Du coup, il se sent étouffé et éprouve un "énorme besoin de rire" difficile à combler. Il y voit l'origine de sa vocation d'amuseur. Et cette vocation remonte très loin puisque dès l'âge de 5 ans, il dessine beaucoup tout en dévorant des bandes dessinées dont "Mickey" ou "Les aventures de Tintin et Milou". A l'époque, il ne pense pas à mêler ces deux passions…

En 1935, âgé de 11 ans, il voit ses dessins publiés dans le quotidien "La Nation belge".

En 1942, André Franquin débute ses études supérieures. Son père lui avait déjà choisi une carrière d'ingénieur agronome mais avec l'aide de sa mère, il arrive à le convaincre de le laisser intégrer à l'école d'art religieux de Saint Luc. Il se lasse rapidement de cette atmosphère où règne une moral stricte (la pratique du nu féminin est interdite obligeant les étudiants à poser eux-mêmes !). A la fin de la première année, André a l'impression d'avoir fait le tour de la question.

En 1944, André Franquin fait une rencontre qui va changer sa vie : Eddy Paape. Cet ancien élève de Saint Luc travail dans un atelier de dessin animé. A l'occasion d'une de ses visites régulières à des anciens professeurs, il est tellement impressionné par les dessins d'André qu'il lui propose de le rejoindre. En septembre 1944, il devient donc animateur, un métier dont il ignore tout et pour lequel il n'a aucune formation.

Après la Libération, le studio CBA fait faillite du fait de l'invasion de dessins animés américains mais cette courte expérience a permis à André Franquin de rencontrer Morris (encreur et silhouetteur) et Peyo (gouacheur).

En 1945, Morris l'aide à renter aux éditions Dupuis qui cherche des dessinateurs. Jusque là, Franquin se considérait comme un simple illustrateur. Son arrivée chez Dupuis, lui permet enfin de réunir ses deux passions d'enfant (le dessin et la BD) et de passer au statut de dessinateur.

De 1945 à 1952, il réalise des couvertures pour "Le Moustique" et l'hebdomadaire "Bonnes soirées", des gags en une planche ou des publicités. Dès ces débuts, on note son talent pour mettre en valeur l'expression des personnages ou son talent pour le dessin figuratif (selon le journal destinataire) et une dose d'humour noir.

En 1946, Jijé est le dessinateur vedette du "Journal de Spirou" dont il assure la réalisation de la quasi-totalité des bandes dessinées dont "Spirou". Face à l'ampleur de la tâche, il demande à Charles Dupuis d'être soulagé d'une partie de son travail. Sur les conseils de ce dernier, il crée une atelier de dessin dans sa maison et s'entour des jeunes nouveaux talents qui viennent d'être embauchés. Morris, Paape et Franquin sont de l'aventure. Jijé propose à Franquin de reprendre "Spirou" ce qu'il accepte avec insouciance et sans connaître le travail de Rob-Vel. Sa première histoire, "Spirou et le tank". Le test étant concluant, Jijé abandonne alors complètement "Spirou" (qu'il dessinait toujours pour le journal). Franquin reprend alors "Spirou et la maison préfabriquée" dont Jijé a déjà dessiné les première cases. Le changement de dessinateur passe presque inaperçu tant Franquin sait se fondre dans le style de son prédécesseur. Les deux histoires sont publiées dans "l'Almanach Spirou" de 1947.

Dès sa première histoire en solo et en tant qu'auteur officiel de "Spirou", Franquin donne une nouvelle dimension à la série. Avec "L'héritage", il donne à l'histoire une nouvelle dimension humoristique qui transparaît notamment au travers du bestiaire que Franquin s'applique à dessiner. En parallèle, il dessine de nombreuses illustrations pour "Le journal de Spirou" et le magazine "Plein-jeu" (pour les scouts) ainsi que des cartoons "le Moustique" et "Les bonnes soirées".

En 1948, Franquin, Morris et Jijé partent pour les Etats-Unis et le Mexique par peur d'une guerre avec l'Union soviétique en Europe. Les trois complices envoient alors leurs dessins par courrier aux éditions Dupuis. Mais le mal du pays et de sa financée gagne vite Franquin qui rentre à Bruxelles.

En 1950, il a signé une dizaine d'histoires. Ces aventures tiennent en moyenne en une vingtaine de page, les animaux y sont toujours présents mais on voit aussi poindre la passion de Franquin pour les voitures (notamment la marque Citroën). Si les personnages que Spirou, Fantasio et Spip rencontrent dans leurs aventures ne sont jamais les mêmes, le professeur Samovar est le premier rôle récurent. D'ailleurs pour certains, il préfigure Zorglub.

Cette même année, Franquin prend un nouveau virage à la fois dans sa vie personnelle, il épouse Liliane Servais, et dans sa vie professionnelle avec la publication avec la publication de l'album "Il y a un sorcier à Champignac". Cette aventure met en place le monde de Spirou et Fantasio que nous connaissons aujourd'hui avec notamment le village de Champignac et des ses habitants à commencer par le maire et le comte de Champignac. Il inaugure aussi une série de récits plus longs (57 planches en moyenne).

En 1951-1952, "Spirou et les héritiers" marque la naissance du Marsupilami, de Zantafio et des automobiles Turbot. Sa passion pour la mécanique et son sens de l'inventivité se font plus présents. En attendant de les développer à tambour battant au travers de Gaston Lagaffe, il crée la Turbotraction et le Fantacoptère.

En 1953, Seccotine devient le premier personnage féminin récurrent de la série.

En 1960, dans "Le voyageur du Mésozoïque", il offre un premier rôle de figurant à Gaston Lagaffe avant de lui offrir de petits rôles secondaires.

En 1955, Franquin quitte "Le journal de Spirou" suite à un désaccord avec les éditions Dupuis. Il crée alors "Modeste et Pompon", une série de gags en une planche, qu'il présente au "Journal de Tintin". Réconcilié avec les éditions Dupuis, il reprend son travail sur "Spirou" et se voit donc contraint de travailler deux fois plus alors qu'il se qualifié de "paresseux par essence". Mais la liberté que lui laisse cette série lui plaît tout comme le rythme hebdomadaire de parution des planches. Cette série offre un aspect assez visionnaire sur l'avenir. Tout d'abord sur l'avenir de notre quotidien puisque Franquin y présente un ouvre boite électrique et une télécommande de télévision avant leur invention. Ensuite pour l'avenir de la carrière de Franquin puisque plusieurs personnages de la série préfigurent des personnages de "Gaston Lagaffe" dont Gaston lui-même.

Le 28 février 1957, Franquin lance Gaston Lagaffe dans les pages Du magazine "Spirou". Comme Spirou et Fantasio, Gaston est présenté comme un employé du journal. Face au succès du personnage, Franquin accepte de rendre hebdomadaires les gaffes de Gaston. Franquin s'adjoint les services de Jidéhem pour animer le premier anti-héros de la bande dessinée. Gaston est une sorte de transposition bédéistique de Franquin : paresseux, antimilitariste et insoumis à l'autorité voir subversif. Le personnage fait même quelques intrusion dans les aventures de "Spirou et Fantasio".

La même année, Franquin crée le Petit Noël. Le personnage s'adresse à un public de très jeunes enfants et ne paraît dans "le Journal de Spirou" essentiellement à l'occasion de numéros spéciaux (par exemple pour Pâques ou Noël). Il situe les courtes aventures du Petit Noël dans les rues de Champignac où il croise régulièrement le Marsupilami en pension chez le comte de Champignac. Ce personnage exprime le coté poétique de Franquin.

En 1958, Franquin franchit un nouveau cap professionnel : le travail en équipe. A l'occasion de l'album "Le prisonnier du Bouddha", il s'associe avec Greg au scénario et Jidéhem pour les décors. Grâce à Greg, Franquin aborde un nouveau seuil dans l'humour : le comique absurde. En effet, jusqu'à maintenant les histoires dessinées par Franquin étaient assez crédibles (hormis quelques trouvailles et invention) et basées sur des intrigues classiques où les méchants sont des malfrats ou autres trafiquants. Suite à cette collaboration, Franquin créera la savant fou Zorglub.

En 1958 et 1959, Franquin publie des planches de Spirou dans le quotidien français, "Le Parisien Libéré", en parallèle à son travail pour "le Journal de Spirou". Pour ce travail, il s'associe à Roba (papa de "Boule et Bill") qui dessine les décors et les nouveaux personnages. Cela donnera naissance à "Spirou et les hommes bulles" et aux "Petits formats". Greg se joindra à eux pour "Tembo Tabou" (qui paraîtra en album en 1974).

En 1959, Franquin arrête son travail sur "Modeste et Pompon". Ses amis Greg, Goscinny, Peyo et Tibet sont venus à l'occasion lui prêter main forte. La série sera reprise par d'autres auteurs. La même année, il abandonne aussi Le Petit Noël qu'il jugera plus tard "trop mélo". Le personnage sera repris 30 ans plus tard par d'autres auteurs mais sans succès.

En 1960, Franquin prépare un nouvel album avec Zorglub mais les éditions Dupuis refusent. Il demande à Greg de reprendre le scénario pour donner naissance à "QRN sur Bretzelburg". Mais pour Franquin, cet album est celui de trop, il est pris par la tenace impression de tourner en rond et tombe en dépression. La publication de l'histoire est interrompue pendant presque deux ans puis paraît très irrégulièrement. Durant cette période, Franquin ne dessine plus que des gags pour "Gaston Lagaffe". L'album n'est finalement publié qu'en 1966.

En 1968, Franquin apporte son aide à Peyo pour l'album " Les Schtroumpfs et le Cracoucass". En dessinant le Cracoucass (l'oiseau qui terrorise le village), il rend la politesse à son ami qui l'a aidé sur "Panade à Champignac" dans la série "Spirou et Fantasio".

En 1969, Franquin dessine "Bravo les brothers" qui met surtout en valeur Gaston Lagaffe et "Panade à Champignac". Cet après cet album qu'il abandonne la série dont les codes conventionnels lui pèsent. Son disciple Fournier reprend la série. Franquin intervient dans quelques cases pour dessiner le Marsupilami avant d'arrêter complètement.

Libéré de "Spirou et Fantasio", Franquin développe le personnage et l'univers de Gaston Lagaffe. La série mêle humour, poésie, inventivité, critique de la société de l'urgence et de la consommation, écologie et humanisme. Franquin y manifeste aussi à nouveau son talent sur le dessin des animaux et développe sa technique de bruitage.

En 1977, Franquin et Yvan Delporte lancent "le Trombone illustré", un supplément de huit pages qui vient comme un parasite au milieu du journal "Spirou". Afin de trancher avec le "politiquement correct" de "Spirou", le supplément est plein d'humour noir et subversif. Quelques auteurs se joignent au duo (même des auteurs d'autres journaux). Mais le ton ne plait pas (notamment les moqueries sur le catholicisme, les sectes ou la publicité) et au bout de trente numéros le "Trombone" s'arrête. Mais les deux compères revendent le concept à Casterman sous le nom de "Pendant ce temps-là à Landerneau". Mais après quelques numéros dans le magazine "A suivre", l'aventure s'achève définitivement.

Durant l'aventure du "Trombone illustré", Franquin lance une nouvelle série : "les idées noires". Au travers de dessins en noir et blanc, il s'attaque avec un humour aussi noir que ses dessins aux absurdités de notre société avec une prédilection particulière pour les militaires, les chasseurs, les pollueurs ou la religion. Franquin déclare dans un entretien accordé à "La libre Belgique" : "les idées noires, c'est un peu Gaston trempé dans de la suie". D'ailleurs en 1979, il dessine une planche où Gaston est torturé par des militaires totalitaires au profit d'Amnesty International.

A la fin du "Trombone illustré", "les idées noires" sont reprise dans "Fluide glacial" (dirigé à l'époque par un admirateur et un ami de Franquin, Gotlib). Cette série est souvent considérée comment le chef d'œuvre de Franquin.

En 1978, Franquin qui écrit les scénarii des histoires qu'il dessine devient simple scénariste que la série "Isabelle" qui a été créée en 1972 par Will, Yvan Delporte et Macherot. Franquin se plonge dans l'univers onirique de la série où se mêle sorcellerie, humour, poésie et dérision et écrit la trame générale des albums 3 à 7.

La même année, il est rejoint en tant que scénariste Yvan Delporte et Jannin sur la série "Arnest Ringard et la taupe Augraphie", aventures d'un jardinier malmené par une taupe envahissante. Il écrit le scénario de l'histoire.

En 1980, Gaston Lagaffe est adapté au cinéma. Le film fera un bide et sera désavoué par Franquin lui-même qui n'a participé au projet.

En 1982, Franquin tombe de nouveau en dépression et cesse tout travail. Il lui faudra deux ans pour s'en remettre.

En 1984, Franquin sort de dépression et reprend le dessin de "Gaston Lagaffe". L'énergie fait défaut mais son sens de l'humour est toujours présent.

En 1987, pour fêter les 30 ans de Gaston Lagaffe, "Le journal de Gaston" est édité tandis que des gags sont adaptés à la télévision. La même année, Franquin qui est très fatigué, revend les droits du célèbre animal à un financer monégasque qui crée les éditions Marsu productions. Le Marsupilami reprend alors sa route dans des aventures propres entre les mains d'autres auteurs mais sous l'œil de Franquin au début.

Mais Franquin se lance malgré tout dans un nouveau projet : "les Tifous". Il se plonge durant trois ans dans cette série animée destinée aux enfants. Produite par les studios ODEC/Kid Cartoons sur des scénarios de Yvan Delporte, Xavier Fauche et Jean Léturgie, la série n'est représente qu'un épisode mineur dans la carrière mais représente beaucoup pour Franquin qui en oublie presque "Gaston Lagaffe".

En 1990, le dessin animé ne rencontre pas le succès attendu victime d'un budget trop faible et s'arrête après seulement 7 heures d'épisodes produits. Il est tout de même publié en album (Dessis éditeur).

En 1991, Franquin reçoit la médaille de l'ordre de Léopold (équivalant belge de la Légion d'honneur française).

Le 26 juin 1991, Franquin publie son dernier gag de "Gaston Lagaffe" dans "Spirou". Il abandonne son personnage favori et fétiche faute de pouvoir tenir le rythme de production hebdomadaire.

En 1992, cède à Marsu production ses droits sur "Gaston Lagaffe", "idées noires" et ses monstres mais continue de dessiner.

En 1996, après 10 ans de patience, les fans de Gaston Lagaffe découvre son album n° 15. Les 650 000 exemplaires tirés sont épuisés en six semaines !

Le 5 janvier 1997, Franquin meurt d'un infarctus. Il laisse au huitième art une œuvre majeure qui a influencé de nombreux auteurs en France, en Belgique mais aussi dans le monde entier.

 

A noter :

- Au cours de sa carrière signe ou cosigné plus de 700 couvertures et environ 600 dessins (événementiels, publicités, annonces, illustrations, affiches…) où il met en scène ses personnages. Le journal "Spirou" en est le premier bénéficiaire mais il travaille aussi pour d'autres magazine – dont Fluide glacial – et des fanzines. Ce sera d'ailleurs l'occasion pour Franquin de dessiner de nombreuses créatures imaginaires amusantes et hideuses. Certaines de ces créatures sont réunies dans "Cauchemarrant" et "Un monstre par semaine" mais la plupart est inédite en album.

- Un livre "Signé Franquin" réunit plus de 200 signatures de Franquin qui s'amusait à les adapter à l'histoire.

 

Intrusions dans le monde de Spirou et Fantasio

> en 1946 : "Le tank" (album hors série n° 1 : "L'héritage" en 1976)

> en 1946 : "Spirou et la maison préfabriquée" (album hors série n° 2 : "Radar, le robot" en 1976)

> en 1947 : "L'héritage" (album hors série n° 1 : "L'héritage" en 1976)

> en 1947 : "Radar, le robot" (album hors série n° 2 : "Radar, le robot" en 1976)

> en 1948 : "Spirou et les plans du robot" (album n° 1 "Quatre aventures de Spirou et Fantasio" en 1952)

> en 1948 : " Spirou sur le ring " (album n° 1 "Quatre aventures de Spirou et Fantasio" en 1952)

> en 1949 : " Spirou fait du cheval " (album n° 1 "Quatre aventures de Spirou et Fantasio" en 1952)

> en 1949 : " Spirou chez les Pygmées " (album n° 1 "Quatre aventures de Spirou et Fantasio" en 1952)

> en 1950 : "les chapeaux noirs" (album n° 3 en 1952)

> en 1950 : "Mystère à la frontière " (album n° 3 "Les chapeaux noirs" en 1952)

> en 1951 : "Il y a un sorcier à Champignac" (album n° 2)

> en 1952 : "Spirou et les héritiers" (album n° 4)

> en 1954 : "Les voleurs du Marsupilami" (album n° 5)

> en 1955 : "La corne de rhinocéros" (album n° 6) pré publié sous le titre "Spirou et la Turbotraction"

> en 1956 : "Le dictateur et le champignon" (album n° 7)

> en 1956 : "La mauvaise tête" (album n° 8)

> en 1956 : "Touchez pas aux rouges-gorges" (album n° 8 "Mauvaise tête" en 1956)

> en 1957 : "Le repaire de la murène" (album n° 9)

> en 1959 : "Les pirates du silence" (album n° 10)

> en 1959 : "La Quick Super" (album n° 10 "Les pirates du silence" en 1959)

> en 1959 : "Le gorille a bonne mine" (album n° 11)

> en 1959 : "Vacances sans histoires" (album n° 11 "Le gorille a bonne mine" en 1959)

> en 1960 : "Le nid des Marsupilamis" (album n° 12)

> en 1960 : "La foire aux gangsters" (album n° 12 "Le nid des Marsupilamis" en 1960)

> en 1960 : "Le voyageur du mésozoïque" (album n° 13)

> en 1960 : "La peur au bout du fil" (album n° 13 "Le voyageur du mésozoïque" en 1960)

> en 1960 : "QRN sur Bretzelburg (album n° 18 publié en 1966)

> en 1961 : "Le prisonnier du Bouddha" (album n° 14)

> en 1961 : "Z comme Zorglub" (album n° 15)

> en 1961 : "Les Robinson du rail" (feuilleton radiophonique)

> en 1962 : "L'ombre du Z" (album n° 16)

> en 1964 : "Spirou et les hommes-bulles" (album n° 17)

> en 1964 : "Les Robinson du rail" (roman illustré publié dans "Spirou" adapté du feuilleton radiophonique)

> en 1964 : "Les petits formats" (album n° 14 "Spirou et les hommes-bulles" en 1964)

> en 1974 : "Tembo Tabou" (album n° 24 paru en 1974)

> en 1969 : "Panade à Champignac" (album n° 19)

> en 1969 : "Bravo les Brothers" (album n) 19 "Panade à Champignac" en 1969)

> en 1970 : "Le faiseur d'or" (album n° 20) [participation]

 

dernière mise à jour de cette fiche le 23 mars 2008

 

 

 

 

 

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